On parle beaucoup moins des "Rohingya".

C'est sans doute que suite à l'afflux de réfugiés du Moyen-Orient en Europe, le point de vue des Birmans commence à être mieux compris.

http://www.irrawaddy.org/interview/asean-envoy-burma-was-misunderstood.html

" ‘Boat people’ [Ed. note: Rohingya refugees from Burma and migrants from Bangladesh] are called irregular migrants in Asean countries. At first, Burma was misunderstood [by the regional and international community] regarding this issue. But more recently, they have begun to recognize us as a country that is taking part in trying to resolve the migrant issue. We will approach this problem from this position in the future."

Carte de la pratique religieuse en Europe

https://www.stratfor.com/image/european-religious-attendance

Seules les pays de l'Europe de l'Est, l'Italie, l'Irlande et l'Espagne gardent une pratique supérieure à 15 %. Par contre les pays de la partie médiane du sous-continent, se sont suite à la Renaissance, aux Lumières ou à l'Aufklärung éloignés du christianisme sans le remplacer. C'est ce vide qui représente pour l'islam, principe d'entropie conquérant - d'abord par la démographie, puis l'intimidation - l'atout principal. La seule manière pour l'Europe de résister à la désintégration qui la menace, à l'offensive des castes et religions endogames,   serait de poursuivre et achever sa Renaissance en encourageant une synthèse bouddho-chrétienne, qui de plus la mettrait en phase avec les pôles de l'économie mondiale en Asie du Sud (Inde) , du Sud-Est (Vietnam, Thaïlande, Myanmar) et de l'Est (Chine, Corée, Japon).